Il se pourrait qu'un excès d'hygiène et, donc, une exposition insuffisante aux "gentils" microbes favorise la maladie d'Alzheimer.
À première vue, certaines des critiques des commentateurs me paraissent valides, notamment concernant l'aspect statistique, toujours problématique, on le sait, mais il faudrait regarder en détail la méthodologie. Il se pourrait en particulier que la mortalité infantiles élimine par un mécanisme quelconque les sujets vulnérables à l'alzheimer même si celle-ci ne se déclare pas en bas âge. La question des facteurs environnementaux comme l'alimentation transformée me semble aussi pertinente -- certains chercheurs rapprochent en effet l'alzheimer du diabète. Je suis toutefois frappée de la répugnance que semblent avoir les gens à accepter l'idée que nos règles d'hygiène pourraient être excessives. Est-ce parce que la propreté a toujours été un marqueur du rang social et (ou) de la valeur morale?
Better hygiene in wealthy nations may increase Alzheimer’s risk | University of Cambridge:
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